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Sâdhus, 2015

Lors de mes voyages en Inde, la présence de sâdhus (1), personnages mythiques représentant une philosophie du rejet des biens matériels au profit de la spiritualité, me questionne et me distrait tout à la fois.

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Sans fin, 2016

Texte de Joëlle Busca sur le diaporama « Sans fin » réalisé en 2016 durant le workshop d’Antoine d’Agata

Sans fin rapporte une traque dans l’empire du détraqué. Poursuivre sans relâche, cerner le détraqué. Pris au pied de la lettre étymologique, détraqué signifie qui n’a plus de chemin, ni devant ni derrière, une déroute, sans issue ni direction.

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N’être, 2019

Michel Rey développe à travers le projet photographique « n’être » une réflexion esthétique et conceptuelle sur l’aliénation, par la représentation symbolique de la réclusion domestique de la femme. Cette réflexion s’opère à deux niveaux : celui de l’assignation spatiale de la femme, la maison. Celui de l’assignation identitaire qui suppose l’existence d’une nature féminine aux vertus à vocations domestiques.

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Métastable, 2020

Article d’André Rouillé paru dans Parisart.com en juillet 2020 sur l’exposition « Matière sensible » au Corridor à Arles.

Michel Rey photographie des natures mortes d’objets abandonnés et déchus de leurs fonctions, pour développer une réflexion esthétique sur l’instabilité et le déséquilibre.

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